Qui, aujourd’hui, peut prétendre n’avoir jamais entendu parler d’« addiction » ?
Les « addictions », au pluriel, telles qu’il est communément admis de nommer les avatars dans la réalité de « l’Addiction » ne manquent pas de générer tout un imaginaire fantasmatique oscillant continuellement entre angoisse et fascination. Mais comment comprendre alors qu’un sujet « choisisse » activement de s’inscrire dans l’apparente passivité d’une dépendance et d’une soumission renouvelées à un « autre » : substance, objet, le numérique, situation, comportement ?

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