Accueil » Psychanalyse et écriture cinématographique (6ème et dernière année)
Date de début : lundi 14 octobre 2024.
ANNÉE 2024-2025
Le deuxième lundi du mois.
ARCC
Lieu : chez Paule Lurcel au 48, rue de la Sablière 75014 Paris.
Pour s’inscrire contacter Paule Lurcel au : 06.81.58.20.20
ou par courriel : paulelurcel@wanadoo.fr
ou par courriel : paulelurcel@wanadoo.fr
Participants : Sophie Brossier, Francine Caraman, Martine Lestrehan Jurkiewicz (SPP), Paule Lurcel, Martine Mikolajczyk, Anne-Marie Paul.
Rencontre et découverte, trouvaille et retrouvailles caractérisent les impressions ressenties tout au long d’une cure et d’une œuvre cinématographique. En ne cherchant
pas les points de contact entre les deux disciplines, mais en respectant leurs caractéristiques, le cinéma et la psychanalyse s’enrichissent l’un l’autre.
L’écriture cinématographique aboutit à « une forme qui pense », visuelle, cénesthésique, sonore. Cette forme viendrait-elle, pour son spectateur rencontrer les « restes » de l’analyse, ses points aveugles, tels qu’évoqués dans Analyse finie, analyse infinie ?
S’éclaireraient-ils parfois de leur mise en image ? L’hallucinatoire, le fantasme trouveraient alors une figuration. L’image s’offre alors, tel un remède à l’absence, pour
contrer le mouvement mélancolique. Le cinéma proposerait-il une voie qui, au-delà du visible, permettrait de retrouver l’objet primaire ?
Comment retrouver la femme, son image, sa présence, après Gradiva ?
Ce sera la dernière année de notre travail.
pas les points de contact entre les deux disciplines, mais en respectant leurs caractéristiques, le cinéma et la psychanalyse s’enrichissent l’un l’autre.
L’écriture cinématographique aboutit à « une forme qui pense », visuelle, cénesthésique, sonore. Cette forme viendrait-elle, pour son spectateur rencontrer les « restes » de l’analyse, ses points aveugles, tels qu’évoqués dans Analyse finie, analyse infinie ?
S’éclaireraient-ils parfois de leur mise en image ? L’hallucinatoire, le fantasme trouveraient alors une figuration. L’image s’offre alors, tel un remède à l’absence, pour
contrer le mouvement mélancolique. Le cinéma proposerait-il une voie qui, au-delà du visible, permettrait de retrouver l’objet primaire ?
Comment retrouver la femme, son image, sa présence, après Gradiva ?
Ce sera la dernière année de notre travail.