À travers les figures de trois mères – la Dolorosa, conçue par Iacopone da Todi, la Gloriosa, élaborée au long des siècles par le catholicisme, l’Amoureuse, imaginée par Stefan Zweig –, le psychanalyste Henri Normand accompagne nos représentations de la mère – celle, bien réelle, de chacun, comme celle, tutélaire, de l’imaginaire collectif.
Parmi les enfants que nous sommes tous, qui tolérerait le dérangement absolu que représente une mère unifiée, à la fois sexuelle, douloureuse et glorieuse ? Serions-nous parvenus à fragmenter en trois personnes une idée inacceptable ?
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Les amours d’une mère
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Collection penser/rêver, l’Olivier.
Parution : 5 avril 2007