L’art est la clef perdue de l’amour. Il n’est grand que s’il commence en se ressourçant dans le rapport à soi d’une personne qui n’est pas encore l’artiste, simplement l’enfant qui s’est perdu, l’adolescent qui s’angoisse, l’homme qui s’apprête à vieillir et cherche un sens à accepter de le faire.
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Perdre, sublimer…
Auteur :
1194
Auteur(s) APF :
1194
In Revue française de psychanalyse, tome 69, n°5, spécial congrès, La sublimation.
Parution : 19 janvier 2006