Ce cours de l’année 1991-1992 traite de la genèse du sexuel infantile. Il remet à une place subordonnée la notion d’étayage et, par une argumentation serrée, montre que celle-ci est bouleversée par l’intervention première de l’autre adulte et de sa sexualité dans le psychisme naissant de l’enfant (théorie de la séduction généralisée). En ce sens, l’étayage pourrait lui-même constituer un ultime fourvoiement du freudisme. Une conférence prononcée à Buenos-Aires, sous le titre Biologisme et biologie, complète le volume et montre que dénoncer un fourvoiement biologisant de Freud n’est nullement dénoncer la biologie dans l’être humain. C’est au contraire lui restituer une place positive et non plus mythologique.
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Problématiques VII : Le fourvoiement biologisant de la sexualité chez Freud
Suivi de Biologisme et biologie
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