L’inconscient parle toujours une langue étrangère, y compris à celui qui en est l’hôte. Et il ne parle pas toujours… C’est d’abord comme « corps étranger », coupé de « la vie de représentation » que Freud l’évoque.
Les embarras du féminin
Hélène est dans l’incompréhension totale d’elle-même après un cancer du sein. Adèle, hospitalisée en raison de son anorexie, évoque son refus de manger comme une sensation de toute-puissance face à sa vie. Aurore, une adepte des chirurgies esthétiques, cherche, depuis son enfance, une solution à son malaise. Mathilde, petite fille agénésique dotée d’une prothèse, affole … Lire la suite