Aux limites de l’analysable
L’attention portée aux états limites (borderline) reste trop souvent dépendante d’un souci nosographique, objectivant. L’existence, de plus en plus attestée par la clinique d’aujourd’hui, de cas situés entre névrose et psychose dont on s’efforce tant bien que mal de préciser la structure, n’entraîne alors comme conséquence que l’ajout d’une case aux tableaux psychopathologiques dits « classiques ». … Lire la suite